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Ghérasim Luca
Ce blog cherche à donner informations, documents, pistes et problèmes aux lecteurs et chercheurs qui sont emportés par l'oeuvre de Ghérasim Luca (1913-1994)
dimanche 5 janvier 2020
Exposition "Ghérasim Luca Tourbillon d'être" à la librairie métamorphoses
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Michel Scognamillo
vendredi 15 mars 2019
Et « Passionnément » danser Ghérasim Luca
A La Rochelle : Premier rendez-vous du Printemps des Éclats, Maxence Rey a présenté des extraits de sa prochaine création work in progress : Passionnément.
https://chroniquesdalienor.com/et-passionnement-danser-gherasim-luca/
https://chroniquesdalienor.com/et-passionnement-danser-gherasim-luca/
dimanche 20 janvier 2019
France Culture, la compagnie des poètes reçoit Luca
Une émission (59 mn) de France Culture le 14/12/2018 autour de Ghérasim Luca :
https://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite/gherasim-luca-heros-limite
https://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite/gherasim-luca-heros-limite
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vendredi 7 décembre 2018
12 décembre 2018: soirée poétique Ghérasim Luca
PAROLES
SOIRÉE POÉTIQUE GHERASIM LUCA
« APOCALYPTIQUEMENT FORT »
à 18h30 (1h30)
Petite salle - Centre Pompidou, Paris
Entrée libre dans la limite des places disponibles
© Centre Pompidou, MNAM-CCI/Georges Meguerditchian/Dist. RMN-GP © Micheline Catti-Ghérasim Luca
Gherasim Luca, « Sans titre », 1960
Ghérasim Luca est tout d’abord « un nom et un égarement », identité singulière, « hors la loi », poète apatride en perpétuelle transgression du langage poétique. Il entame une profonde transformation de l’écriture poétique, dans le registre des « ontophonies phonétiques », par des mots travaillés dans leur métamorphose incessante, « bégaiements poétiques » qui dissèquent le langage pour mieux démultiplier les sens.
Né en 1913 à Bucarest, dans une culture plurilingue qui pratique sans distinction le roumain, le français, l’allemand et le yiddish, il participe à la dynamique éclectique et frondeuse de la deuxième vague avant-gardiste roumaine autour de la revue Alge [Algues]. Associé à la cause prolétaire, il arrive à Paris en 1938 où, en compagnie de Victor Brauner, Jacques Hérold et Gellu Naum se livre au rituel des cadavres exquis et à l’écriture automatique.
De retour à Bucarest en 1940, il forme le groupe surréaliste, avec Gellu Naum, Paul Pun, Dolfi Trost et Virgil Teodorescu. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il cristallise les directions de sa pensée poétique, notamment les principes pour une conception « non-œdipienne » de la vie capable d’une transformation profonde du réel par la découverte du désir exacerbé et par la « négation de la négation ». Il choisit le français comme langue d’élection.
Figure culte et discrète, aimant le milieu artistique français, il collabore avec Edouard Jaguer, Alain Jouffroy, Claude Tarnaud, Georges Henein ou Gilles Ehrmann et réalise de nombreux livres-objets en complicité avec Victor Brauner, Jacques Hérold, Max Ernst, Wifredo Lam, Micheline Catti, Pol Bury et Piotr Kowalski. Poète d’une voix qui « s’onde » et d’une langue qui « s’oralise », il participe aux récitals et festivals de poésie – action dans le cadre du « Domaine Poétique » et Festum Fluxorum à Paris, Fylkingen à Stockholm, plus tard « Polyphonix », à Paris et à New York.
Une soirée poétique en présence de :
Serge Martin, professeur des universités, Paris 3 Sorbonne - Nouvelle
Cristina de Simone, maître de conférence, Université de Caen
Krzysztof Fjalkowski, professeur à l’Université de Norwich
Denis Moscovici (sous-réserve)
Avec une lecture par Brigitte Goffart, comédienne
Né en 1913 à Bucarest, dans une culture plurilingue qui pratique sans distinction le roumain, le français, l’allemand et le yiddish, il participe à la dynamique éclectique et frondeuse de la deuxième vague avant-gardiste roumaine autour de la revue Alge [Algues]. Associé à la cause prolétaire, il arrive à Paris en 1938 où, en compagnie de Victor Brauner, Jacques Hérold et Gellu Naum se livre au rituel des cadavres exquis et à l’écriture automatique.
De retour à Bucarest en 1940, il forme le groupe surréaliste, avec Gellu Naum, Paul Pun, Dolfi Trost et Virgil Teodorescu. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il cristallise les directions de sa pensée poétique, notamment les principes pour une conception « non-œdipienne » de la vie capable d’une transformation profonde du réel par la découverte du désir exacerbé et par la « négation de la négation ». Il choisit le français comme langue d’élection.
Figure culte et discrète, aimant le milieu artistique français, il collabore avec Edouard Jaguer, Alain Jouffroy, Claude Tarnaud, Georges Henein ou Gilles Ehrmann et réalise de nombreux livres-objets en complicité avec Victor Brauner, Jacques Hérold, Max Ernst, Wifredo Lam, Micheline Catti, Pol Bury et Piotr Kowalski. Poète d’une voix qui « s’onde » et d’une langue qui « s’oralise », il participe aux récitals et festivals de poésie – action dans le cadre du « Domaine Poétique » et Festum Fluxorum à Paris, Fylkingen à Stockholm, plus tard « Polyphonix », à Paris et à New York.
Une soirée poétique en présence de :
Serge Martin, professeur des universités, Paris 3 Sorbonne - Nouvelle
Cristina de Simone, maître de conférence, Université de Caen
Krzysztof Fjalkowski, professeur à l’Université de Norwich
Denis Moscovici (sous-réserve)
Avec une lecture par Brigitte Goffart, comédienne
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lundi 5 novembre 2018
Actualités de Ghérasim Luca en novembre 2018
Après le très beau spectacle de Elise Dabrowski
dont on peut avoir quelques échos dans cette émission :
https://www.francemusique.fr/emissions/tapage-nocturne/tapage-nocturne-recoit-elise-dabrowski-65928
je vous conseille d'aller voir L'Inventeur de l'amour aux Déchargeurs dans une mise en scène de Darius Peyamiras : http://www.lesdechargeurs.fr/spectacle/l-inventeur-de-l-amour
https://www.francemusique.fr/emissions/tapage-nocturne/tapage-nocturne-recoit-elise-dabrowski-65928
je vous conseille d'aller voir L'Inventeur de l'amour aux Déchargeurs dans une mise en scène de Darius Peyamiras : http://www.lesdechargeurs.fr/spectacle/l-inventeur-de-l-amour
mardi 5 juin 2018
dimanche 1 avril 2018
Je m'oralise (Corti, 2018)
Recensions de Je m'oralise paru aux éditions Corti en 2018 :
- Serge Martin : http://martinritman.blogspot.fr/2018/03/gherasim-luca-envoie-aux-vivants-sa.html
- Tristan Hordé : https://www.sitaudis.fr/Parutions/je-m-oralise-de-gherasim-luca.php
- Serge Martin : http://martinritman.blogspot.fr/2018/03/gherasim-luca-envoie-aux-vivants-sa.html
- Tristan Hordé : https://www.sitaudis.fr/Parutions/je-m-oralise-de-gherasim-luca.php
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